Nourriture intellectuelle
Ils parlent de Sol Semilla !
LE BONBON- Nos 50 meilleurs restos en livraison ou à emporter à Paris Forbes - 24 Hours In Paris With Model, Giedre Dukauskaite The New York Times Style Magazine - T’s Wellness Guide to Paris Eating Europe - The Best Vegetarian and Vegan Spots in Paris Slowly Veggie - Superaliments : on file chez Sol Semilla ! Goûts et passions - Une joyeuse cantine vegan ! Sol-Semilla – table remarquée Pâtàfran - Le chocolat dans tous ses états ! Sol-Semilla – Cacao Cru Poudre extraite à froid sansglutenetsansreproches - Pain sans gluten à « la poudre magique »La farine de maïs mauve, un superaliment sélectionné par Céline, chef "sans gluten et sans reproche", dans sa nouvelle recette de pain sans gluten à « la poudre magique » Word By Jessie - Look Better and Feel Better EasyGuiders - Les meilleurs restaurants vegan de Paris A Nous Paris - 5 restaurants vegan à Paris Le FIGARO Madame - Le Figaro Madame recommande la Klamath Sol Semilla pour une cure et vous explique comment procéder ! Notre restaurant aux superaliments Sol-Semilla est à l'honneur dans la sélection du guide 2018 du blog Omnivore 100% jeune cuisine Source : Omnivore
Lire l'articleInterview : Rencontre avec Marie Brigitte Anty - Magasin L'EAU VIVE Hossegor
Propos recueillis d'Andréa Marcelli, gérant de Sol Semilla Pour Sol Semilla l’écologie est aussi sociale : adopter de bonnes relations avec nos producteurs, nos fournisseurs, et nos revendeurs fait partie intégrante d’une construction positive de notre environnement. Des rencontres se tissent par l’intérêt porté à l’autre et donnent du sens à notre travail au quotidien. Marie-Brigitte dirige le magasin Bio Eau Vive à Hossegor. Elle partage avec nous sa passion, ses valeurs, son envie de rendre vertueuse sa démarche d’entrepreneuse. Une très belle rencontre. Andréa : Le passage au bio dans la vie d’une personne s’apparente à un vrai changement de sensibilité et à un vrai engagement. Quel est le parcours qui vous a amenée à ce changement ? Marie-Birgitte Anty : J’ai eu la chance d’avoir eu mes deux grand-mères qui ne soignaient qu’avec des plantes ; sans avoir fait d’études, elles étaient de véritables phytothérapeutes ! Je me souviens encore cueillir avec elles du serpolet ou faire des cataplasmes de moutarde ou de choux. Elles m’ont initiée à cette connaissance. J’ai grandi dans le Gers en mangeant essentiellement des produits de jardin, des volailles de la ferme… C’est grâce à cette éducation que ma connexion à la Nature s’est établie, et mon respect pour elle… Andréa : … les personnes qui vont ont inspirée, étaient donc du cadre familial ? Marie-Birgitte Anty :Absolument. Je suis d’origine italienne et fière de l’être ! J’ai reçu une éducation judéo-chrétienne, soulignant l’importance de la famille, mais aussi le respect de notre environnement et l’attention donnée à ce que l’on mange. Nous vivions dans une ferme, nous ne traitions rien, nous respections les saisons. Andréa : Avez-vous identifié une évolution du consommateur bio et de ses attentes ? Plus généralement, comment voyez-vous le futur des réseaux spécialisés bio ? Marie–Brigitte: Aujourd’hui les grandes surfaces s’immiscent de plus en plus dans notre secteur. Il va falloir trouver un moyen de se différencier d’eux avec des labels par exemple comme Nature et Progrès. En ce qui concerne le consommateur, c’est notre rôle de le guider vers une plus grande conscience de son environnement : respecter au maximum les saisons malgré la pression du business et une demande habituée à avoir tout, tout de suite, serait un bon début. Andréa : Quels sont vos conseils pour vivre mieux ? Qu’un aliment puisse être aussi considéré comme un médicament. Hippocrate le disait déjà plus de 400 ans avec Jésus Christ. Pour que l’intérieur reflète l’extérieur on doit le soigner aussi en mangeant bien. Andréa : S’il fallait choisir un superaliment, ce serait lequel et pourquoi ? Je pense plus à ce dont nous avons besoin. Nous avons besoin de vitamine D, d’Omega 3, de magnésium et de vitamine C. Ces sont pour moi les quatre piliers. Cerveau et corps. J’utilise beaucoup l’huile de Nigelle, un aliment exceptionnel.
Lire l'articleVidéo de Sébastien Kardinal « Resto Vegan à PARIS » : SOL SEMILLA
Vidéo de @Sébastien Kardinal, auteur et critique culinaire reconnu dans le monde Vegan, il a un palais d’expert ! Nous sommes heureux de l’avoir reçu la semaine dernière à notre table ! Découvrez sa vidéo ci-dessus ! "Connaissez-vous l’univers des superaliments ? Eh bien, c’est la spécialité de ce restaurant vegan pas comme les autres. On y déguste des produits frais de saisons, agrémentés de produits naturels aux vertus multiples. Une vraie expérience originale et dont le succès ne faiblit pas depuis déjà 10 ans ! Je vous emmène donc dans ce voyage gustatif plein de bonnes surprises." « *Sol Semilla 23, Rue des Vinaigriers – 75010 – Paris https://www.sol-semilla.fr
Lire l'articleVers plus de vrac !
Article par Marie Rousset, responsable communication & développement chez Sol Semilla. Une démocratisation plaisante Maintenant disponible dans la plupart des magasins bio spécialisés, le vrac s’est démocratisé pour les produits secs. C’est une évolution qui nous tient à cœur, que nous félicitons et soutenons ! Nos choix Nous avons décidé d’organiser la production de notre laboratoire de sorte à pouvoir répondre à cette demande croissante d’achat au kilo avec le moins d'emballage possible. Nous sommes heureux de pouvoir proposer certains superaliments à la vente au kilo, mais seulement sur une sélection spécifique.On vous explique pourquoi ! Etant dans une démarche de proposer des produits les plus bruts possible et les plus proches de leur saveur d’origine, nous utilisons peu ou pas d’ agents conservateurs et passons par des méthodes de séchage douces. Il en résulte que certains superaliments sont difficiles à offrir en vrac pour une raison de conversation optimale. La sensibilité et la volatilité des produits sont aussi des freins à la vente en vrac surtout dans les rayons ! Priorité à la conservation et la qualité du produit Notre but est de vous assurer une qualité optimale, hors dans les rayons vrac, imaginez-vous le massacre, des sols recouverts de spiruline !! Les micro-algues par exemple perdraient de leur chlorophylle (le vert devient fade) et donc de leurs vertus si elles ne se trouvaient pas à l’abri de la lumière et de l’humidité. Par ailleurs, les produits contenants une quantité non négligeable d’Oméga sont très sensibles et risqueraient de s’oxyder très vite quand ils sont 100% naturels. Nos recommandations Nous vous recommandons vivement, même pour les superaliments les plus robustes (fèves de cacao, baies d’aguaymanto…) qu’une fois reçu en vrac, vous les transfériez dans vos bocaux et les placiez dans un placard à l’abri de la lumière.* Les avantages de notre vrac : vous continuerez à avoir toutes les données nutritionnelles, les conseils d'utilisation et les dates de consommation optimales parfois manquantes dans les rayons des supermarchés. ne subissant ni passages ni manipulations intermédiaires, notre vrac vous arrive directement en respectant les règles d'hygiène strictes que nous appliquons à tous nos produits dans notre labioratoire charentais. et surtout, ce qui est bon pour la planète est bon aussi pour votre portefeuille puisque notre vrac et proportionnellement moins cher au kg. *Pour l’açaï : une fois le sac vrac ouvert, pensez à le placer au frigo ou dans un endroit frais qui ne risque pas de variations de températures.
Lire l'articlePLANT BASED FOOD, Sol Semilla lanceur de tendances en France
Depuis sa naissance, Sol Semilla a décidé de marier les super-aliments à une cuisine végétale et biologique annonçant une diététique consciente en vogue aujourd’hui et qui vise une éthique systémique.
Lire l'articleFocus sur la klamath, l'algue bleue sauvage
Par @Marie_shaktini, responsable communication chez Sol Semilla. Une microalgue rare La « Klamath », appelée aussi « AFA » (de son nom botanique : Aphanizomenon Flos Aquae, « la fleur invisible de l’eau ») est prélevée dans un seul endroit au monde, le lac Klamath en Oregon (USA). Notre partenaire fait parti des quatre compagnies locales qui se partagent cette ressource naturelle. La protection d'un écosystème unique Notre fournisseur dont nous avons visité les installations, respecte les périodes rares de l’année propices à une récolte dans des conditions optimales. Ce qui permet notamment d’éviter la contamination de l’AFA par la microcystine, une autre micro-algue, qui elle, peut être toxique. La demande du marché étant devenue très forte, certains producteurs récoltent sur des périodes plus étendues commercialisant ainsi constamment une Klamath de moindre qualité. Des critères de qualité exigeants Une importation en directe : une traçabilité totale Nous travaillons en direct du producteur depuis plusieurs années, ce qui assure une qualité et une traçabilité optimale. Étant consommateurs de klamath, nous portons une grande attention à la méthode de séchage employée (Liqua Dry’s® BioActive Dehydration™) qui préserve incontestablement les 115 nutriments (particulièrement de la chlorophylle, la vitamine B12, la phénylétilamine et les acides aminés) naturellement présents dans l’algue. Une double analyse effectuée à chaque réception nous garantie sa pureté. Un contrôle qualité strict En sus, des analyses à réception, récolter une algue sauvage mérite un contrôle constant de la part de notre fournisseur conscient de travailler un produit se développant dans un milieu sauvage. Ce dernier effectue des contrôles de l’eau du lac toutes les heures en période de récolte. La grande qualité de notre klamath est aussi liée à sa période de récolte – au moment des eaux les plus froides, au printemps et à l’automne. Les récoltes se font au printemps et en automne, période de l’année où les eaux restent relativement froides ce qui assurent la qualité de notre Klamath. En effet, lorsque les eaux du lacs montent en température d’autres micro-algues toxiques (microcystine) peuvent apparaître dans certaines zones. Les dérives du marché Selon les marques et les distributeurs, un prix bas signifie qu’il existe un risque qu’elle soit coupée avec d’autres algues (au mieux de la Spiruline). Reconnaître une klamath de qualité Selon les marques et les distributeurs, un prix bas signifie qu’il existe un risque qu’elle soit coupée avec d’autres algues (au mieux de la Spiruline). Comme tous produits, différentes qualités existent, tous les stades de la récolte à la livraison doivent être pris en compte afin de définir la qualité du produit. La récolte et l’origine : Connaissez-vous des périodes spécifiques de récoltes ? Votre revendeur travaille t-il en direct avec le producteur ? Analyses et certifications : Le fournisseur peut-il vous fournir des analyses complètes microbiologiques, taux de microcystine, pesticides, tests bio-électroniques de Vincent, valeurs nutritionnelles complètes ? En suivant ce lien vous aurez accès à une fiche technique détaillée sur la klamath ! Traçabilité : Le numéro de lot doit permettre en quelques minutes au revendeur de retrouver le lot et les analyses réalisées sur celui ci. Tous documents peuvent être transmis dans la journée à la personne qui en fait la demande. Le service commercial de Sol Semilla est à même d’envoyer tout document sur demande. La méthode de fabrication : Les méthodes de récoltes propres, le procédé de séchage respectueux du produit, la compression et le stockage dans un environnement sain (à l’abri de la chaleur et de la lumière) sont primordiaux pour assurer la qualité du produit final et sa conservation. Discours commercial sensé et conseils avisés : La Klamath est une algue complète qui agit sur le système nerveux. Le revendeur se doit de ne pas sur-vendre les effets de la Klamath en précisant que ses effets et propriétés seront variables selon chaque personne. Nous conseillerons toujours d’aller consulter votre naturopathe.
Lire l'articleMais les superaliments, ils viennent de loin ?!
Article par @Marie_shaktini, responsable communication chez Sol Semilla. Nous sommes de plus en plus nombreux à concevoir l’impact global occasionné par nos choix en matière de consommation, particulièrement dans le domaine de l’alimentation. Une réflexion à propos des circuits de distribution nous amène à privilégier la consommation de produits frais, saisonniers et locaux. En effet, ces aliments nous permettent d’être en phase avec notre environnement proche, d’apporter à notre corps des « informations nutritionnelles » adaptées aux régions et aux climats dans et sous lesquels nous vivons. Nos assiettes idéales seraient constituées d’une part importante « d’ici et maintenant », je veux dire de produits frais provenant de circuits courts. Le développement d’un tel mode de consommation aurait pour conséquence de rapprocher les zones de cultures des lieux d’habitations. Déjà aujourd’hui des fermes et des potagers urbains sont en voie d’apparition…Les perspectives économiques, sociales, écologiques qu’offre une telle évolution sont enthousiasmantes. La consommation massive d’aliments frais lointains est donc légitimement à remettre en question. Devant parvenir rapidement au consommateur, ils sont, pour la plupart, expédiés par avion dans des conteneurs parfois réfrigérés. Ce type de transport posant de sérieux problèmes écologiques devrait être utilisé le moins possible, réduire au maximum la consommation de produits frais venus d’autres continents s’impose donc aujourd’hui. Les aliments séchés, cultivés et transformés naturellement, pouvant voyager lentement d’un point éloigné à un autre, peuvent s’ils sont intéressants sur les plans gustatifs, nutritionnels être considérés différemment. UN COMMERCE INTELLIGENT & LIENS CULTURELS Tout au long de l’histoire du monde, des échanges ont eu lieu entre les peuples. Épices, fruits séchés, herbes, céréales et autres aliments secs ont voyagé sur des distances de plus en plus lointaines. Au-delà des saveurs, couleurs et nutriments apportés, ces échanges ont permis à différentes cultures de tisser des liens, transmettre des récits, partager des connaissances. Ce besoin d’aller vers l’autre, s’est exprimé de façons plus ou moins harmonieuses selon les époques et les contrées. Le pillage des ressources, la mise en esclavage des peuples autochtones par leurs conquérants, la quasi-destruction de cultures millénaires ont souvent prédominé et laissé des traces qui marquent encore notre actualité. La conquête des Amériques par les européens- qui selon certains marque les débuts de la mondialisation- en est une des plus fortes illustrations. Cependant aujourd’hui les moyens, les connaissances et la conscience dont nous disposons nous permettent de concevoir et de pratiquer d’autres façons de commercer. Nous pouvons nous affranchir de modèles hérités du passé. Les superaliments offerts par ces terres généreuses peuvent accompagner cette évolution vers une alimentation mondiale et des échanges économiques épanouissants. C’est dans cette optique que nous nous sommes investis dans le commerce de superaliments lointains. PRESERVATION DE LA BIODIVERSITE Ce commerce contribue également à la préservation du patrimoine botanique Amazonien et Andin. En effet, nous demandons à nos producteurs de prendre le plus grand soin d’espèces botaniques devenues rares et oubliées amenées à disparaitre au profit de plantations dites plus rentables. Ces superaliments (Griffe du chat, sirop de Yacon, …) constituent des trésors botaniques qu’il convient de protéger. Les herboristes ou aficionados des plantes que nous avons rencontrés au Pérou nous l’ont tous confirmé, ces plantes (fruits, racines, liane, herbes, fleurs…) sont de plus en plus difficiles à trouver la plupart étant décimées par les pesticides ou désherbées par l’homme pensant qu’il s’agit de mauvaises herbes sans intérêt. De moins en moins connues même au sein de la population locale qui matraqué par les produits transformés (nourritures, médicaments) se détourne de la culture et/ou récolte de ces produits et de son patrimoine botanique pourtant si riche. LOCAVORISME, L’UNIQUE SOLUTION ? Loin d’être en opposition avec l’émergence du mouvement « locavore » s’affirmant aujourd’hui, le commerce dont nous parlons accompagne cette philosophie. Les superaliments importés par Sol Semilla peuvent voyager lentement, ils ne sont pas destinés à fournir une part importante de l’alimentation quotidienne en Europe. Au-delà de l’intérêt nutritionnel, gustatif et culturel que leur commerce représente, il peut aussi être considéré comme un exemple à suivre pour l’orientation future de notre monde concernant les échanges lointains. Nous estimons que consommer des fruits exotiques frais est un luxe qui a un réel impact négatif sur le climat. Nous considérons que les fruits tels que l’ananas, la mangue, la noix de coco, les avocats ou encore les bananes devraient être cueillis à maturité, déshydratés à basse température (ils sont plus légers sans leur eau) et transportés par bateaux (les plus propres possibles) afin de réduire les voyages aériens de produits parfois encore verts qui n’ont pas eu le temps de se gorger de tous leurs nutriments. Dans notre restaurant/boutique parisien, lieu de découverte et de créativité, nous réduisons notre impact en privilégiant l’utilisation de produits frais locaux, biologiques et de saison. Nous incorporons dans nos plats et desserts les superaliments avec parcimonie et goût en respectant avec précaution les produits et leurs qualités nutritionnelles.
Lire l'articlePrésentation de la Chlorelle
Marie, coach en alimentation vivante & bien-être holistique, vous présente la chlorelle : ses bienfaits, son utilisations & vous fait découvrir 3 recettes simples et rapides ! La chlorelle est une micro algue d’eau douce qui est cultivée au Portugal en milieu clos pour rester pure
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