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"Plus forte que Lyme", Article extrait du Magazine REGENERE

Plus forte que Lyme

Propos recueillis par Jean-David Bol du Magazine REGENERE n°14, Détox&Elimination, le 01/06/2022

Nous sommes en 2019. Marie a 29 ans, vit en région parisienne et elle a un emploi du temps bien chargé. Cette année-là, au printemps, elle profite des beaux jours du mois de juin pour aller camper. Mais la nuit, pendant son sommeil, elle se fait piquer par une tique. Les symptômes ne tardent pas à apparaître.

Dès le jour suivant, une forte fièvre et des maux de tête apparaissent. « Au début, j’ai pensé à une insolation, se rappelle Marie. Alors je n’ai rien pris et je suis allée me coucher tôt, car je reprenais le travail le lendemain. » Lundi matin, au bureau, tout semble être rentré dans l’ordre, mais après le déjeuner, Marie fait un malaise et sent le besoin d’aller aux toilettes. « Là, je me rends compte que j’urine du sang, alors je vais à l’hôpital pour faire des analyses. » On prescrit à Marie un antibiotique contre les infections urinaires, mais les pics de fièvre reviennent et de nouveaux symptômes apparaissent : certains de ses muscles se mettent à bouger tous seuls. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, alors elle retourne voir son médecin, qui ne comprend pas non plus.

Lyme confirmé

« Et puis je me rappelle de la piqûre de tique que j’avais retrouvée derrière ma jambe à mon réveil, mais qui ne m’avait pas causé d’érythème. » Marie demande alors une analyse à la borréliose : le résultat est positif. Elle en fait d’autres pour être sûre, et elles reviennent toutes positives. C’est officiel : Marie a la maladie de Lyme. Les semaines qui suivent, son état empire. « Ça devient insoutenable : j’ai de très forts maux de tête, au point que parfois, je ne peux même pas ouvrir mes volets. Je fais des crises inflammatoires au niveau des ganglions et je souffre de douleurs articulaires intenses. » Marie ne mange plus beaucoup et moralement, son état décline aussi : quand elle parle, elle met du temps à trouver ses mots et parfois, elle a même du mal à tenir son stylo. Au-delà des repas, elle n’a plus d'appétit pour rien. Vient alors la question des solutions, parmi lesquelles l’antibiothérapie. « Il est exclu que je me lance là-dedans, je sais que ça va me détruire toute la flore intestinale. Heureusement, j’ai des amis naturopathes autour de moi et ils me parlent de solutions naturelles. »

Céto & Détox

Forte du soutien et des conseils de ses amis, elle se lance au mois d’août : « Je commence un régime cétogène pour réduire l’inflammation et les symptômes car je me suis rendue compte qu’ils apparaissent après les repas, surtout quand ils sont trop lourds ou trop sucrés ». En parallèle de cette réforme alimentaire, Marie comprend qu’il serait pertinent de détoxifier son organisme. Alors, une fois par semaine, elle fait une purge à l’huile de ricin et fait 45 minutes de sauna infrarouge, trois fois par semaine. « Au début, c’est très dur, mais je veux guérir alors je le refais souvent. Ces séances de sauna m’aident à éliminer les toxines mortes de mon corps, j’en sors avec des plaques rouges sur tout le corps ! » Marie consomme aussi de la chlorelle, cette algue détoxifiante très riche en chlorophylle, afin d’optimiser le travail de détox du sauna.

Résultats encourageants

Après trois mois de régime cétogène strict et de détox régulières, la jeune femme constate une certaine amélioration : « Mes épisodes de fièvre sont moins forts et j’ai moins de douleurs, au point que je peux refaire du yoga ». Elle assouplit un peu son alimentation et découvre des moyens complémentaires de poursuivre sa détox : les massages aux huiles essentielles et la sonothérapie. « Elle consiste à utiliser des sons sont les fréquences vibratoires tuent les bactéries » explique Marie. À partir du mois de novembre, elle se fait un jus de céleri à l’extracteur tous les matins. « Je vais de mieux en mieux ! Parfois, je fais des crises de détox assez violentes, à tel point que je crois que c’est un retour de symptômes. »

Enfin la guérison

Début 2020, Marie élargit encore sa panoplie de détox : pendant un mois, elle expérimente le gélules de shiitake et un mélange à base d’huile essentielle d’origan. « Après ça, je n’ai plus aucun symptôme, je sens que mon système immunitaire est hyper puissant ! » Cela tombe parfaitement bien car la fin de sa cure coïncide avec l’arrivée du covid. Nous sommes en février 2020 et Marie est aux anges : « Je ne sens plus rien, je me sens guérie ! Bien sûr, je continue la détox et je sais comment gérer les inflammations et les symptômes s’ils devaient réapparaitre ». Elle se sent même suffisamment forte pour tenter un jeûne sec pendant 2-3 jours et elle en retire de grands bienfaits.

Une vie normale

Depuis, Marie a quitté le stress de la région parisienne pour venir vivre sous le soleil du sud de la France. « Je ne sais pas si ma maladie de Lyme a disparu ou si elle s’est stabilisée, mais j’ai retrouvé une vie normale ! » Et pour la préserver, elle continue ses detox régulières, notamment à l’arrivée du printemps et l’automne où elle fait une cure de Klamath, une microalgue récoltée dans le lac du même nom, situé dans l’Oregon (USA). Très riche en protéines, oligoéléments, vitamines et acides gras, cette cyanobactérie contient aussi de la phycocyanine, du bêta-carotène et de la chlorophylle, de puissants antioxydants. « Étant donné ses vertus anti-inflammatoires et régénératrices, elle accompagne à merveille la détox ! »

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